Princesse de Clèves, née mademoiselle de Chartres, dit TheMuse ou thalie58 : naissance et histoire .

[TheMuse]

Je naquis il y a fort longtemps, dans un beau hameau de grande envergure : Chartres .
Ma mère porte le nom de mon père, et ainsi depuis des générations, nous somme tous des De Chartres .

J'ai reçu de ma mère une éducation exemplaire, elle m'enseigna tout ce qu'il est important de savoir pour une jeune fille de mon rang, ainsi que les bienfaits et les méfaits de la vertu.
Ma mère m'enseigna d'abord que les hommes étaient souvent cruels et déplorables, ainsi qu'agressifs, mais elle m'enseigna également que la vie d'une femme honnête et mariée est très paisible .

Je me suis rapidement faite à cette idée que me donna ma mère dès ma naissance, et je ne vis pas beacoup d'hommes durant ma tendre enfance ...
Jusqu'au jour où ma mère décida que nous partirions nous installer à la cour du roi, pour me changer les idées disait-elle, mais je sentait bien qu'elle avait là quelques bon projets de mariage pour moi .

Arrivée à la cour, je me fis discrète, mais sans exagération, courtoise, mais pas flatteuse, une exemplaire dame de la cour .
Quelques heures après mon arrivée, on me présenta au duc de Nevers, un homme au sang chaud, mais aussi un père, père du prince de Clèves, un jeune homme ni trop beau ni trop laid, mais quelque peu pressant et gênant, il ne cessa de me regarder de toute l'après-midi, et j'en fus réellement gênée ...

Je m'en allai aussi vite que possible, faisant bas ma révérence, puis rejoingni ma mère qui bavardait avec madame soeur du roi et ses trois filles, mesdemoiselles dauphines .
Quelques jours plus tard, je m'étais déjà fais une belle cour sans même le vouloir, le duc de Nemour affichait publiquement son amour pour moi, et le prince de Clèves n'en fit hélas pas moins, ce qui me laissa pour prétendant deux rivaux autrefois pourtant amis .

Mère me fit bientôt entendre que penser à quelques épousailles avec monsieur de Nemour était chose impossible, en effet, il descendait d'une famille bien moins noble que la mienne, et je ne pouvais me résoudre à prendre pareil parti .
Hélas, le prince de Clèves non plus n'était pas dans les meilleurs dispositions pour un mariage, la famille de monsieur de Nevers, son père ,n'étant pas en d'excellents termes avec la mienne, ou plutôt celle de ma mère, il était impensable que le Duc de Nevers consentisse à unir son fils à la fille d'une famille opposée .

Je me retrouvai bientôt avec deux amants aux pieds, hé ! devrai-je dire demi-amants, je ne les aimait point, je ne voyais là que deux prétendants de plus , mais peu être moins lassants que les autres, qui sait ?

Bientôt, le prince de clèves annonça à son père ses intentions de mariaage à mon égard, inutile de tenter une courte description, il me semble que vous aurez compris aisément ce qu'il se passa ensuite, il devint fou de rage, et tenta en vain de faire entendre raison à son fils .

Le Duc de Nevers finit donc par acccepter cette demande de son fils après maints essais ...
Je me retrouvai donc sans délai liée à la vie au prince de Clèves, et devenait par là-même la princesse de Clèves .

Mon histoire se termine dans un lit, où je meurs pour être libérée de mon mari que j'aime trop pour le tromper avec son assassin, et libérée pour mon amant, qui me trouvera alors totalement libérée de mes devoirs, mais il n'en sera jamais ainsi, je vivrai une magnifique aventure sur Soramine, un monde d'aventure où le temps s'est arrêté .